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 Lieutenant Wiltor AileTranchante [V3.0]

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Wiltor AileTranchante

MISSIVE ENVOYÉES : 25


Lieutenant Wiltor AileTranchante [V3.0] Vide
MessageSujet: Lieutenant Wiltor AileTranchante [V3.0]   Lieutenant Wiltor AileTranchante [V3.0] Icon_minitimeDim 2 Oct - 12:49

SCARY MONSTERS AND NICE SPRITES by Skrillex

Votre personnage




200*300

• Nom & Prénom :
Wiltor AileTranchante. Zack de prénom, mais nul ne s'en souvient. Peut-être pas même lui.
• Age :
Wiltor est mort à l’âge d’or de cent-trente-deux ans (et demi), il y a vingt ans de cela. Remarquez, il a l’air de le vivre assez bien… Enfin, façon de parler, bien sûr.
• Race :
Undead. AileTranchante fut autrefois un elfe, et se considère comme bien plus désormais. Sa volonté et la fougue qui l’habitait autrefois ne l’ont pas abandonné, bien que se teintant désormais d’une patience qu’on se découvre souvent lorsque le temps n’a plus d’emprise sur nos actes.
• Camp :
Dieppgard.
• Grade :
Voila une question épineuse… AileTranchante est le bras droit, la main armée du Dr Freyja Howlin, et si cela implique une position au sommet de la hiérarchie et des pouvoirs indiscutables, et la possibilité de commander aux armées mortes, cela implique bien souvent d’autres obligations, que les ‘gradés’ des autres peuples ont rarement à assumer. Avez-vous déjà gouté une côte d’ours sanguinaire cuite à point ? Freyja l’a déjà fait, et Wiltor espère avec ferveur que cette envie ne lui viendra plus d’ici à ce que l’espèce se soit éteinte. Il offre d’ailleurs une prime et une place dans ses troupes à chaque homme, femme ou enfant qui lui rapporterait la tête d’un de ces animaux. Peu l’ont fait.

• Titre :
AileTranchante, surnom acquis auprès des elfes durant sa vie, dû à son style de combat aussi mortel qu’impressionnant. Ses voltiges et pirouettes ont volé la vie de tant de ses ennemis qu’elles sont devenues tant un symbole qu’une arme, démoralisant les troupes aux alentours aussi bien qu’elles hachaient menus ceux des environs proches. Lors de sa mort, une superbe stèle parée d’enluminures et gravée ‘Général Wiltor AileTranchante, Fléau des Vikings’ fut érigée dans le caveau du panthéon ; Bien sûr, depuis, elle a été brisée, et ses morceaux enterrés ici et là. Pourquoi glorifier un ennemi aussi vil, en vérité… Mais il faut admettre que les elfes sont mesquins. Depuis que l’immortalité leur a filé entre les doigts, il suffit que l’un des leurs la retrouve pour qu’ils ne puissent plus le voir en peinture.
• Réputation :
Jadis un général reconnu et glorifié par ses pairs, Wiltor faisait montre d’un caractère inflexible et exigeant. D’un naturel assez austère, il inspirait à ses hommes et ses contemporains un mélange de respect et de crainte, bien que chacun s’accorde à dire que ses jugements étaient justes et exempts de méchanceté. Ses hommes étaient fiers de servir sous ses ordres, et lui leur accordait toute la protection qu’il pouvait. S’il leur demandait beaucoup, et s’attendait à ce qu’ils le donnent sans délai, il n’en exigeait pas moins de lui-même, et savait reconnaître – et récompenser à sa juste valeur – leurs réussites et leurs victoires. Son escouade était la meilleure, après celle des gardes du corps de la famille royale, qu’il contribuait à former, et nombreux étaient ceux qui rêvaient d’y entrer. Mais pour cela, il fallait être assez compétent pour attirer son attention et son approbation, et assez humble pour supporter sans broncher ses ordres, ses conditions et son entraînement. De fait, quand il apparaissait quelque part, tous les jeunes elfes s’appliquaient brusquement du mieux qu’ils pouvaient, cherchant à l’impressionner par leur savoir-faire, à lui plaire par leur discipline. Son nom aurait été chanté en exemple dans l’armée pendant des années après sa mort… Si seulement celle-ci avait été définitive. Mais le passage dans l’au-delà et son retour parmi les vivants l’avaient changé, et l’avaient placés sous les ordres des sinistres hordes du Dr Howlin. AileTranchante devint un nom honni, rayé des mémoires comme des annales, synonyme de traquenards, de massacres, de cadavres mutilés et d’escouades décimées, d’embuscades nocturnes, de pièges insensés, de survivants hébétés. On raconte qu’il est devenu fou, qu’il boit le sang et l’âme de ses victimes. On raconte qu’il danse avec la mort, et que chaque pas qu’il fait avec elle coûte la vie à un soldat. Tout cela le fait sourire, quand il pense à la crédulité et à la peur de la mort de ceux qui chuchotent son nom de peur de l’attirer. On ne dit pas grand-chose d’autre sur lui, parce qu’à la vérité, on évite de penser à lui, et parce qu’évoquer son nom est mal vu à Sylvän.

Physique

Les origines elfiques d’AileTranchante sont incontestables, tant par ses oreilles pointues et son teint clair que par la finesse de ses traits et la grâce de ses mouvements. Plutôt grand pour un elfe – sans toutefois atteindre les hauteurs des barbares géants venus du froid – et assez mince, Wiltor dégageait de son vivant une impression de force tranquille, comme un maelström en sommeil, un calme relatif avant une tempête hurlante. Sa silhouette, ses gestes, ses expressions, tout en lui trahissait la calme assurance de ceux qui savent pouvoir donner la mort sans la recevoir. On eut dit que chacun de ses gestes était mesuré, soupesé, comme s’il craignait de briser ce qui l’entourait en agissant avec emportement ; ses mouvements n’étaient pas fluides, ils étaient fonctionnels. Droit au but, pourrait-on dire, aucun mouvement superflu, aucun détour, aucune fioriture, dans une économie de gestes ne laissant que peu de place aux ronds de jambes et autres courbettes. Coiffé d’une multitude de petites tresses blondes collées à son crâne jusqu’à sa nuque, d’où elles descendaient jusqu’à ses reins, pour se terminer par des pendentifs d’argent, d’ivoire ou d’onyx. Il était doté de grands yeux verts, très lumineux, qui en faisaient rougir plus d’une, bien que lui-même ne se soit jamais vraiment intéressé à la gent féminine. Selon lui, un guerrier ne devrait pas avoir d’autre amante que l’armée, bien qu’il se garde d’imposer cette vision à ses subordonnées ; la mort d’un soldat pouvait être rapide et miséricordieuse, tandis que le chagrin et la douleur d’une veuve, ou d’un orphelin, pouvait durer des années, voire des siècles. Ne détestant personne au point de lui imposer cela, il avait tout simplement décidé de ne pas s’intéresser aux jeux de la passion. Comme la plupart de ses congénères, il était plutôt fin, mais son uniforme compensait cet état de fait. Entièrement fait de cuir rouge, il épousait parfaitement ses formes et, assurait-il à ses recrues, sur cet habit, le sang ne se voyait quasiment pas. Puis il laissait percer un petit rire, qui ne leur permettait aucunement de savoir s’il plaisantait ou non. Les batailles et le commandement lui avaient conférés, au fil du temps, une aura de noblesse qui n’était pas due qu’à son nom ; ses conseils avisés étaient recherchés et écoutés, et il arrivait que certains viennent le chercher pour trancher un différend épineux. Dans son dos et à sa hanche pendent deux épées bâtardes, sur la lame desquelles est gravé ‘frappe vite’ côté recto, et ‘frappe fort’ côté verso, dans des fourreaux de cuir noir ornés de filigranes d’argent.

Depuis sa mort, Wiltor a changé, et ce changement s’est ressenti sur son physique. Ses cheveux, dépassant à peine ses épaules, sont désormais lâchés, ternes et rêches. Ses yeux sont devenus bleu-vert électriques, perpétuellement animés de lueurs mauvaises, des rides de colère ont fait leur apparition aux coins de ses paupières, et sa bouche a pris un pli cruel. Son teint est cireux, cadavérique, et n’a plus rien de son éclat d’antan. Son corps jadis fin et élancé est devenu osseux et rachitique, mais penser qu’il s’est affaibli serait une erreur… Une de celles dont on ne se relève pas. Son uniforme est resté le même, bien qu’il ait désormais une couleur vermeille passé, teinte du sang coagulé. Il se tient toujours aussi droit qu’auparavant, mais quelque chose dans sa démarche donne l’impression qu’il cherche une proie, un exutoire à une violence mauvaise et sans but qui ne demanderait qu’à jaillir. Les plis de sourire qui ornaient la commissure de ses lèvres ont changé également, s’incurvant davantage au gré de ses rictus.



Caractère

"Un sacré caractère ? Un esprit vacillant et l'intelligence d'un mulot, oui ! Ce général d'opérette pourrait décider de tous nous tuer un jour où il s'ennuierait trop ! Plus tôt le Dr Howlin s'en débarrassera, et mieux ça vaudra !" - Pr Noxwell -

Wiltor AileTranchante n'a gardé de sa vie que ses connaissances et sa science martiale. Oubliées, ses anciennes valeurs prônant l'unité, la camaraderie et le soutien collectif. Les roses lui donnent l'envie de dégainer, la lune n'est plus qu'un astre de fiel et d'amertume pour lui. Taciturne, ombrageux et faisant montre d'une patience remarquablement limitée envers la bêtise, il fait montre dans la plupart des circonstances d'un flegme froid et impersonnel, bien que de fines rides aux coins de ses lèvres attestent d'un rictus souvent esquissé. Lorsque les circonstances l'exigent ou le permettent, Wiltor sait changer son masque glacial pour un autre, brûlant de délire et de malveillance celui-ci, souvent au grand regret de ses ennemis. Le délire, le flegme et la rage sont les trois seules expressions que semble pouvoir mimer son visage, et il a l'air de parfaitement s'en contenter.
Il aime prévoir les réactions de ses cibles, mesurer leur désarroi et leur intelligence, sentir l'arrogance se briser, voir l'espoir enfler puis disparaître, comme une bulle qu'un index indélicat rappellerait à sa condition d'éphémère... Il aime se sentir supérieur, et il aime voir ses ennemis capituler devant son ombre, sans même l'avoir aperçu. Rien ne le ravit tant que d'effectuer à la perfection une mission pour la grandeur du docteur Howlin. Il se fiche éperdument du devenir de Dieppgard, mais Dieppgard étant chère au cœur de Howlin...
Sa vénération pour sa Dame n'a ni égale ni rivale dans tout Dieppgard, et il se laisserait volontiers mourir pour elle, si elle n'avait pas eut la délicatesse de le prémunir contre ce genre de désagréments...
De son passé de général, Wiltor ne retiendra que l'aspect tactique des troupes et de la logistique, l'impact du moral sur les troupes, sa capacité à former des guerriers et à user de l'environnement pour triompher. En commandant avisé, il s'est très rapidement rendu compte qu'user d'armées déjà mortes supprimait la plus grande partie des problèmes "techniques" de la plupart des manœuvres. Il se découvrit un grand talent pour les embuscades inattendues, les frappes-éclairs imprévisibles et les infiltrations improbables. Ses guerriers n'avaient besoin ni d'air, ni de lumière. Ils ne dormaient pas, ne mangeaient pas, ne désertaient pas, et pouvaient occasionner de gros dommages avant d'être défaits ou de devoir prendre la fuite ; remarquant également l'effet sur le moral ennemi d'avoir à combattre d'anciens frères d'armes - et des créatures mortes bien décidée à ne pas être les seules - et mis un point d'honneur à toujours trouver le moyen à n'importe quel de ses ennemis de pouvoir trahir son camp. Une technique efficace qui lui avait fait remporter quelques batailles, déjà, qui eurent été bien plus longues à dénouer sans cela. On l'informa que cette technique marcherait sans doute mieux si les traîtres étaient épargnés ou bénéficiaient d'attentions spéciales, et il en pris note. Mais il continua tout de même à massacrer tous les vivants qu'il affrontait, qu'ils trahissent, se battent ou se rendent.



Histoire

L'elfe observe sans bouger les briques de sa prison/demeure. Cette cellule avait été réaménagée - pas beaucoup - selon ses instructions et on n'y trouvait rien d'autre qu'une couchette avec une natte en bois, un long coffre d'ébène et un grand de chêne. Son regard glisse sur les aspérités coutumières des murs et du plafond, les coins où le mortier s'effrite, les tâches qu'il a vu grandir, les griffures qu'il a lui-même faites... Son œil se baisse vers ses mains, ses longues mains froides et pleines de cals, sachant pertinemment que d'ici quelques minutes, elles auraient perdu - une fois encore - leur aspect intact et presque vivant. Comme trop de fois déjà. Un long frisson lui parcourt la colonne vertébrale et il grommelle. La première convulsion est toujours la plus désagréable, en cela qu'elle annonce la venue des suivantes. Ses poils se hérissent tandis que le frisson envahit sa peau. L'elfe s'agrippe les bras et serre les dents, le visage fermé. La convulsion qui surgit alors fut mince et brève, lui arrachant tout de même une grimace, et lui laissant une minuscule crampe à l'épaule droite.
Il a soudain le pressentiment que la "nuit" sera longue. Il ferme les yeux en tentant d'écarter ce funeste oracle, quand un fourmillement détestablement familier lui apprend qu'il ne sentira pas le troisième spasme. Il inspire amplement...

... Et pivote sur lui-même afin de parer le coup d'estoc de Handur. Il sens le choc se répercuter jusque dans son épaule. Il tente d'enrouler sa lame autour de celle du vieil instructeur, mais celui-ci brise son assaut d'entrée. Handur est un vétéran des conflits avec les Vikings. Il a perdu son bras droit il y a des années, et le passage du style droitier au style gaucher lui a appris beaucoup de choses sur le maniement des armes. Son visage est couturé de cicatrices, et il est plus ridé qu'une pomme séchée, mais il reste un combattant et un instructeur hors pair. En cinq passes d'armes, Wiltor voit son épée s'envoler et atterrir dans la poussière, puis s'effondre suite au coup de pied du soldat, qui lui écrase le torse avec une botte et pose la pointe de son épée sur sa gorge, affichant un sourire matois avant de déclarer :

"Et tu fanfaronne devant les jeunes recrues, jeune Wiltor ? Remarque, cinq passes, c'est mieux que d'habitude... File t'entraîner, soldat, tu n'es pas prêt pour la chasse au géant."

Le jeune elfe s'empresse de se redresser, blessé plus dans son amour-propre que physiquement, s'époussette vaguement, salue et se met en route au pas de course. Lorsqu'il sort de la petite arène au sol de sable, il ralentit le pas, marchant d'un bon pas vers le terrain d'entraînement. Les planches de bois cédèrent la place à des pavés gris, puis à des dalles blanches à l'alignement irréprochable, puis d'autres pavés, puis du gravier... Lorsque ce dernier céda lui-même la place à du sable, Wiltor ralentit encore pour passer devant le Domaine Wiltor. La grande maison, où ne vivaient plus que lui et sa mère, était sous sa responsabilité depuis la mort de son père, qui n'était jamais revenu d'une expédition punitive envers les vikings. N'ayant pas appris à gérer un domaine et un statu social cohérent au vu de la fonction de feu son père, gradé de l'armée elfique, il laissait sa mère s'occuper comme avant de sujets pour lesquels il n'avait ni goût ni talent, et se consacrait, lui, à honorer la mémoire de ses ancêtres et à glorifier leurs noms par ses exploits. Exploits à venir, mais qui adviendraient forcément, il en avait la conviction. Il passa sous la grande arche de pierre qui marquait l'entrée du terrain, savourant distraitement la fraîcheur passagère qu'elle lui apporta, bienvenue après son combat. Changeant son épée longue d'entraînement - il n'avait définitivement aucun goût pour le maniement de cette arme - contre son équivalent à une main et demie. Peu de soldat maniaient l'épée bâtarde, que lui-même trouvait très pratique et maniable. Du coin de l'œil, il repéra Tari, une autre recrue du même âge que lui, fils d'une maison voisine à la leur. Ils s'entraînaient souvent ensemble, s'acharnant à apprendre les techniques qui leur permettraient de repousser les barbares vikings. Il se rapprocha de lui, le salua avec son arme de bois, et tous deux se mirent en garde.


Dans un sursaut, l'elfe s'arrache brutalement à sa transe, et promène sur la pièce un regard hagard, perdu. Il met quelques secondes pour se rappeler qui il est, où il est et ce qu'il se passe. Alors, il se penche sur le côté pour vomir, mais une autre convulsion, particulièrement violente, le fait se renvoyer en arrière vers le mur. Il entend distinctement un craquement, et tout devient noir.

Le viking s'arrête devant lui et le toise avec un dédain moqueur. C'est un véritable titan, plus grand encore que les autres colosses, qu'il dépasse d'une tête. Une de LEURS têtes. Face à ce monstre, et à son épée à la lame démesurée qui vient de décimer toute son unité, Wiltor se sait perdu. La peur et le choc le paralysent tout entier. Quelques secondes auparavant, il a aperçu Handur qui venait s'empaler sur le fer d'une lance, conçu de façon visible dans l'idée de faire plus de dégât en sortant qu'en entrant. De toute façon, Handur était mort avant qu'elle ne ressorte... Un tremblement léger mais incontrôlable parcourut son bras droit, et ses doigts se resserrèrent sur la poignée de son arme. Ce n'était ainsi que c'était sensé se passer. Cette situation n'aurait jamais dû se produire. Leur patrouille nouvellement formée, ainsi que deux autres dans le même cas, effectuaient ensemble leur première manœuvre à l'extérieur, dans des collines non éloignées de Sylvän, et ils n'avaient pas envisagé une seule seconde qu'ils pourraient se retrouver face à face avec une troupe de vikings venus semer le trouble et la destruction. Alors le viking fait un pas dans sa direction, et l'esprit de Wiltor se dégèle brusquement. Percevant le moindre détail avec une acuité démesurée, le jeune elfe lance une prière pour sa mère, ses frères d'armes dont les dépouilles baignent dans le lit de leurs sangs mêlés, à Trari dont l'expression étonnée ne s'effacera plus que dans la tombe, et il se met à courir vers l'envahisseur en hurlant. Décontenancé par la témérité soudaine de sa proie jusque-là tétanisée, le géant ralentis un bref instant, puis soulève son épée au dessus de sa tête pour trancher en deux l'importun. Wiltor plonge en avant, fait un roulé-boulé pour passer sous les jambes du viking au moment précis où sa lame s'enfonce dans le sol qu'il foulait une seconde plus tôt. Il attrape l'épée bâtarde de Tari, se retourna et dans un mouvement circulaire, trancha net les tendons des genoux de son adversaire qui s'effondra immédiatement, l'air de ne pas comprendre ce qui lui arrive. Frappe vite, disait Handur. Sautant sur l'homme pour le faire tomber, Wiltor lui donne un coup de pommeau sur l'oreille, le sonnant efficacement, avant d'attraper sa propre lame, de la retourner pointe vers le bas et de l'abattre de toutes ses forces sur le sternum du guerrier mutilé. Un craquement des plus satisfaisants se fait entendre, et Wiltor recommence à respirer. Une fois. Deux fois. Trois fois. Puis il dégage sa lame, fait vrombir ses deux épées, se retourne et se jette vers le reste de l'affrontement, déjà presque achevé en leur défaveur. Le monde devient rouge.


Ses yeux se rouvrent vivement, et il se "réveille" poisseux de sueur. Il porte une main à son front, la ramène rouge foncée; il ne s'agit pas de sueur mais de son sang. Ses yeux acceptent enfin de voir normalement, et il s'aperçoit qu'il a griffé ses bras, son visage et les pierres alentour. Ses ongles sont lézardés, encroûtés de vieux sang. Le bruit de craquement lui revient en mémoire, et il palpe sa blessure, au sommet du crâne, se demandant s'il n'avait pas réussi à se fendre le crâne. Tout avait l'air en ordre. Tournant la tête, il aperçoit un pichet d'eau fraîche posée sur le sol. il tend le bras dans sa direction...


AileTranchante observe ses nouvelles recrues d'un air critique. Les derniers choisis ont tous l'air au mieux de leur forme, intimidés par la situation. C'est parfait. Ils ont également l'air déterminé et énergique. C'est parfait. Ils ont su saisir l'importance de la motivation. Ils semblent déjà orgueilleux d'avoir été choisi, déjà supérieurs aux autres. Il s'arrangerait pour que ça ne dure pas plus de quelques jours. Comme pétrifiés par sa présence, ils n'osent ni parler, ni bouger, à peine respirer. En silence, Wiltor dégaine sa lame et leur présente ses deux face. Sur l'une est gravé, en elfique la devise "Frappe vite", sur l'autre on peut lire "Frappe fort" . Il se met en garde, et admire la synchronisation des jeunes elfes, qui d'un mouvement presque uni dégainèrent leurs propres lames et se mirent en garde, eux aussi. Il réprima un léger sourire appréciateur et pris une voix bourrue, autoritaire.


"Votre synchronisation est bonne mais pas excellente. C'est elle qui fera la différence entre une phalange victorieuse et une phalange décimée. Alors votre premier souci sera d'oublier votre nom pour adopter celui de "patrouille d'entraînement n°3". A l'intérieur du camp derrière moi se trouve le lieutenant Tadd. Allez le voir pour commencer votre pénible apprentissage. Au pas de course !"

L'ordre avait claqué comme un fouet, et les elfes se retournèrent d'un seul mouvement - quoi que mirent quatre enjambées à unir leur pas - et s'en furent au trot chercher ce sergent inexistant qui serait assumé par le sergent Draën lorsque cette équipe aura assez tourné. Alors qu'il se retourne, assez content de l'impression donnée par ses nouvelles recrues, un rayon de soleil vient réchauffer sa pommette, tandis qu'une légère brise agite ses tresses. Marchant et observant autour de lui cette immense agitation militaire, déployée et entretenue par ses soins dans l'efficacité la plus concrète, le camp d'AileTranchante à lui seul dorerait suffisamment le blason de la maison pour satisfaire les ancêtres. Aussi Wiltor s'autorisa-t-il une petite bouffée de satisfaction. Il aperçoit au bout d'une allée une recrue qui semble courir vers lui. L'observant plus attentivement, il reconnaît le rescapé d'une patrouille ayant subi exactement la même épreuve que la sienne, jadis; attaquée par une unité de vikings, seul le jeune Pégasus, un bâtard demi-viking, en avait réchappé. Certains - beaucoup - dans l'armée avaient maugréé, voire crié qu'il s'en était sorti grâce à son sang et sa trahison. Wiltor n'était pas de cet avis-là, et le fis clairement comprendre. Il offrit une place dans ses escouades en formation au jeune elfe, qui rejoignit bientôt le groupe restreint de soldats dont Wiltor s'estimait satisfait. L'homme n'avait à ses yeux qu'un seul défaut : le sens de la hiérarchie. Tutoyant son supérieur et se permettant des plaisanteries parfois douteuse, il semblait avoir pris ne certaine hauteur avec la vie stricte des militaires depuis qu'il avait sauvé la vie de Wiltor. Cela s'était passé il y avait de cela quelques mois seulement. Lors d'un repérage, le terrain saboté par l'ennemi s'était effondré sous les pieds du général, et il s'était retrouvé au beau milieu d'une sorte de cavité naturelle remplie de barbares du Nord. Lui est les quelques soldats tombés en même temps se mirent aussitôt à se battre avec l'énergie du désespoir, luttant pour que leurs frères puissent les rejoindre. A un moment de la bataille, Wiltor se vit forcé de reculer, devant un trio de brutes épaisses
[, qui lui firent faire trois fois le tour de la "salle" avant qu'il ne trébuche sur un tas de gravats. Alors qu'il se préparaient à l'achever, Wiltor aperçut le jeune Pégasus qui fonçait vers eux, les dépassant par derrière et leur tranchant au passages les tendons des jarrets. Alors que les hommes s'effondraient, Pegasus eut un salut à peine réglementaire et retourna se jeter dans la bataille. Ayant remarqué à quel point cette scène ressemblait à son baptême du feu, le général en concevait un grand trouble, et ne parvenait pas à se forcer à prendre les mesures disciplinaires prescrites pour ce genre de comportement. Aussi décidé-t-il de s'éclipser, préférant couper par la forêt que de devoir supporter une autre discussion hors normes. Il s'engage entre les fourrés qui marquent le début du sous-bois./center]


L'elfe se redresse juste à temps pour vomir par-dessus le lit. Au vu du peu qu'il recrache, il comprend qu'il a déjà vu essuyer pareils rejets pendant ses "crises", mais de toute façon, voila des années qu'il ne rejetait plus que de la bile âcre et irritante. Une fois les hoquets passés, il se recroqueville misérablement en position fœtale, écrasé par la lassitude, qui l'écrase telle une chape de plomb. Les tremblements qui agitent le bout de ses doigts, qui vont en gagnant d'intensité et d'ampleur, laissent présager que la convulsion qui arrive sera d'une rare violence. Il attrape tant bien que mal un bout de bois entouré d'une épaisseur de cuir, et le place entre ses dents. Un violent tremblement le saisit, mais il ne le sens pas, bien qu'en ayant conscience. Le monde repasse à l'horizontale. Noir.


"Seriez-vous atteint de folie, mon fils ?! La gloire de votre nom vous aurait-elle monté à la tête, vous dépossédant de tout sens commun ? Ce que vous avez fait est absolument grotesque, et d'une gravité sans nom !"

La réprimande, faite sur un ton plein de fiel et de rancune, fit à Wiltor l'effet d'une claque de Walkyrie. Donnée là où ça fait - très - mal, et - trop - fort. Ayant lui-même encore quelques doutes sur ce qui venait de se produire, le général en fut d'autant plus affecté. Cela dit, il était sûr de son fait et de ses actes, aussi se réfugia-t-il dans la colère ombrageuse et grondante qu'affectait jadis feu son père pour avoir le dernier mot contre sa mère.


"Je suis peiné que vous ne sachiez me faire confiance, mère. Mais l'Arbre-Monde m'a parlé, et il a guidé ma main dans mon entreprise. Je n'eut réussi sans cela."

Dame Wiltor toise son fils avec un subtil mélange de désolation, de peine et de colère. Tout dans son attitude montre qu'elle ne le croit pas, et qu'elle redoute les conséquences de son geste. Entre eux se tient l'objet du litige. Une épée bâtarde, une splendide lame au tranchant fin comme un cheveux, équilibrée à la perfection, et... En bois d'Arbre-Monde, taillée dans une racine d'Yggdrasil même, à sa demande. Le général elfe ramasse l'arme et l'enveloppe dans une toile cirée, se dirige vers la porte de la maison. Alors, il ressent une douleur étrange, comme une vive et soudaine crampe entre deux côtes. Il s'effondre aussitôt, et porte sa main à son flanc, pour la ramener poisseuse de sang. Puis son regard se tourne vers l'air désolé de sa mère, glisse le long de son bras vers la dague encore rougie par son meurtre.

"Je n'avait pas le choix... Tu allais tous nous détruire ! L'Arbre-Monde se serait vengé de toi, et tu aurai terni à jamais le nom de notre famille, nous aurions été bannis ! Tu m'y a obligée ! Je... Je ferais courir le bruit que tu as été assassiné. Qu'un..."

Wiltor ferme les yeux. La voix de sa mère continue à lui parvenir, mais il ne comprends plus ce qu'elle dit. Il ne s'en inquiète pas. Il a l'impression d'être emmailloté par un voile de ronces et un drap de satin, sans pouvoir dire de quel côté se trouvait lequel... Il se sent glisser, et tout s'éteint.
... Pour se rallumer aussitôt, dans un brutal éclair de douleur empli de lumière brûlante. Laissant percer un gémissement de pure douleur, il entrouvre les yeux, et voit...



Wiltor crie, et s'arrache une fois encore à sa transe. Se redressant au prix d'un effort épuisant, il s'aperçoit qu'il a encore le bout de bois dans la bouche, et le recrache. L'empreinte de ses deux s'inscrit sur deux centimètres de profondeur dans le bois. Il sent les tremblements qui l'agitent s'espacer, diminuer d'intensité. Il s'ébroue prudemment, puis se lève avec précautions, découvre qu'il tient debout et soupire avec un soulagement visible. C'est fini, enfin. Du moins, jusqu'à la prochaine fois... Heureusement, les "crises" s'espacent. Ouvrant la porte d'un coup d'épaule, il dépasse sans leur jeter un regard les deux sentinelles qu'il a postées pour surveiller ses appartements. Il va droit à son coffre à équipement et commence à se vêtir. Il ne doit pas faire patienter Freyja plus que le strict minimum.
Il commence par enfiler le bas de son uniforme en cuir rouge. Cet uniforme a été tellement porté et est tellement fait à ses formes qu'il ne grince même pas pendant l'opération. Il resserre quelques sangles çà et là pour le faire tenir, puis répète l'opération avec le haut. Il vérifie, comme toujours, que sa liberté de mouvement n'est pas compromise. Comme toujours également, il commence à faire quelques assouplissements, mais le, soudain, se jette à sa rencontre avec violence. Il peut sentir s pommette éclater sous le choc. C'est douloureux.

Son regard danse sur le dos de sa maîtresse, qui lui tourne le dos et s'écartant. Freyja Howlin. La chose qui était jadis un elfe frissonne et se dit, comme chaque fois qu'il la voit, que s'il avait un cœur, il s'emballerait certainement à ce moment. Comme toujours, il doit lutter pour ne pas rire, et comme toujours, il ne peut réprimer un sourire. Et Freyja, comme toujours, l'aurai regardé étrangement, en silence, si elle n'avait pas eu le dos tourné. Comme chaque fois, il se dit qu'il la servira à jamais et quels que soient ses désirs, quoi qu'il advienne, tant qu'il resterait de la force dans ses bras, tant qu'il possèderait une âme. Comme à chaque fois, en la regardant, il repense à la première vision qu'il a eue d'elle : Alors qu'il se "réveillait" à peine, il avait réussi à s'assoir et à relever les yeux, pour croiser son regard, un regard partagé entre fierté et satisfaction. Sans jugement, sans orgueil, sans ressenti, juste le contentement de le voir, et une acceptation totale de ce qu'il était. Alors, dans les brumes de la non-vie où il se débattait encore, Wiltor AileTranchante, dans le secret de son âme, s'était voué tout entier à la cause de cette créature, sans retenue ni hésitation. Il cligne des yeux, et regarde le dos de sa maîtresse disparaître par l'embrasure d'une porte. Elle n'est pas aussi belle qu'une valkyrie, c'est un fait. Elle n'est pas aussi vénérable qu'un Conseiller elfe, c'est un fait. Mais elle est bien mieux que tout cela. Wiltor AileTranchante avait su voir cela, car au moment où il s'éveillait sous ses doigts, il n'avait pas vu sa froideur, il n'avait pas vu ses cicatrices, il n'avait rien vu de ce qui arrête le regard des autres, non. Lui, il avait vu les douleurs que portait cette créature, qui l'enveloppaient comme une brume épaisse, la séparait du monde. Et derrière cette brume, son sourire. Et tout cela, malgré la noirceur qui s'était installée en son âme, le toucha et le fascina sans espoir de retour en arrière, sans désir de le faire.
Le Dr Freyja Howlin tourna à droite dans le couloir, sans lui faire l'aumône d'un seul regard, et Wiltor baissa les yeux sur la table, devant lui. Elle lui avait apporté un cadeau. Il n'en revenait pas.

"Je vais te faire un cadeau. Je t'offre de quoi me servir au mieux, AileTranchante."

Là encore, il était certain que si son cœur avait battu, on l'aurait entendu d'un bout à l'autre de Dieppgard. Il posa le bout des doigts sur le coffret sombre posé sur le plan de travail grossier. Qu'est-ce qu'il contenait ? Qu'est-ce qu'il POUVAIT contenir ? Déjà, l'excitation et la joie tournoyaient dans son esprit, le faisant presque chavirer. Il laissa échapper un petit cri de joie enfantine, se mordillant les lèvres sans même s'en rendre compte. Mais il parvint tout de même à dominer sa hâte et, trépignant toujours, il entreprit de caresser le contour du coffre, du bout des doigts, de la paume... Les contours, les arrêtes, les jointures, même le nœud, sur le couvercle, qu'un ponçage et un vernissage n'avaient pas fait disparaître. Puis ses mains glissèrent lentement jusqu'à la fermeture légèrement ouvragée, et un déclic se fit entendre. Il attrapa les rebords du couvercle, souffla profondément et l'ouvrit d'un coup.



Wiltor rouvrit les yeux et grogna. Cette fois-ci, il n'avait rien vu venir. Il se redressa lentement, précautionneusement, et s'avança vers une glace pour observer son visage. Sa pommette était presque entièrement refermée, mais elle ne le serait pas encore quand il paraîtrait devant Freyja. Ce serait la deuxième fois ce semestre qu'il se présenterait à elle pareillement "abîmé". Et il n'aimait pas ça. Il se tourna vers la table où il avait récupéré son uniforme - un rapide coup d'œil lui affirma que, comme toujours, le sang caillé ne se voyait pas - et il récupéra l'épée de bois d'Yggdrasil, qu'il glissa dans le fourreau à sa hanche. Puis il caressa brièvement le coffret, le même qu'il venait de revoir en "rêve", l'ouvrit et en sortit une seconde épée bâtarde, à la lame complètement noire, légèrement ondulée, à la garde taillée dans un fémur humain, ornée de métacarpes d'elfes, d'un saphir et de divers filigranes d'or, et au pommeau taillé dans un sternum de viking; Cela it, les artisans de Dame Freyja avait fait des miracles, car à moins de le savoir, il était impossible de deviner la présence des-dits ossements. Il caressa et embrassa brièvement la lame puis la glissa dans le fourreau attaché dans son dos. Freyja devait l'attendre, elle serait furieuse s'il tardait plus. Mais il lui restait encore une chose à faire.

"Kor."
"Messire ?" répondit le garde de droite, sans remuer un muscle de trop.
"Que s'est-il passé, ce matin ?" demanda Wiltor, des lueurs inquiétantes dans le regard.
"Mon seigneur a médité quelques heures dans sa cellule, puis il est ressorti pour aller se présenter à Maîtresse Howlin."
"Tire-laine ? Est-ce que tu crois que Kor à oublié quelque chose ?"

Tire-laine était nouveau. Et Wiltor se méfiait toujours des nouveaux, bien que Tire-laine se soit montré une recrue exemplaire.

"Oui, messire."

Wiltor haussa un sourcil, stupéfait, mais n'affichant qu'un étonnement teinté de morgue. "Et quoi donc ?"

"Mon seigneur, Kor a oublié de vus dire que vous n'aviez pas brossé vos cheveux."

Et il se tut. Wiltor le regarda, stupéfait, pendant deux secondes, puis éclata d'un rire tonitruant, qui se répercuta sur les parois des couloirs. Il se tourna ensuite vers sa psyché, et constata qu'en effet, il avait omis ce détail. Freyja n'aimait pas les individus débraillés. Il se brossa donc les cheveux avec application.

"Merci, Tir. Ne laissez personne rentrer dans mes appartements."
"Bien, Messire."

Comme chaque jour. Le même ordre, la même réponse. Jamais ils n'avaient faillis, bien que peu tentent de pénétrer chez lui. Il se demandait parfois s'ils hésiteraient avant de faire pénétrer Dame Howlin. Il prit se temps de se calmer, de mettre de côté les images tourbillonnantes de sa crise, et lorsqu'il se sentit prêt, il ouvrit la porte et s'engagea vers le coeur grouillant d'activité de Dieppgard, vers sa sombre maîtresse, inquiet à l'idée de provoquer son courroux. Il hâta le pas, comme chaque fois.




Equipement

• Armes & style de combat :
Haute voltige. Wiltor AileTranchante utilise en combat deux épées bâtardes, une dans chaque main 'où d'autre pourrait-il les mettre ?' - 'Chhhht, c'est moi qui raconte ! '-' Ouais mais quand même... Tu passes un peu pour un gland, là.'-' J't'emme*de, c'est moi qui parle et je dis c'que j'veux. '-' Gamin.', et utilise une technique de combat personnelle, peu structurée et se résumant assez simplement : sauter sans cesse pour désorienter l'adversaire, esquiver ses coups et se rapprocher de ses angles morts. Ne plus être soumis aux exigences et à la fragilité de la chair lui a permis de développer encore plus ses techniques, ne craignant plus de se blesser ou s'handicaper. Sait théoriquement user d'autres armes, mais n'est guère meilleur qu'un fantassin ordinaire dans leur maniement.

• Monture :
Cheval de guerre viking (ressuscité)
Spoiler:


• Familier/compagnon :
Ni Familier, ni compagnon. Si on excepte Pegasus.
Et maintenant ?

• Où en êtes-vous ?
Exactement à la fin de l'histoire, qui se poursuit dans Dieppgard, d'ailleurs.

• Relations :
- Facultatif -

• Autre(s) :
Répugne à tuer les enfants.


Et vous ?

• Où avez-vous trouvé le forum ?

Ancien membre. A l'époque, je l'avais trouvé dans une boîte de céréales.

• Avez-vous des suggestions concernant celui-ci ?

Légalisez le chocolat, bande d'affameurs !

• Un petit truc à dire ?

Yggdra-quoi ?
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Dr. Freyja Howlin
Admin et Fondatrice Ethérée

La Mère des Damnés
l'ombre de la cité maudite.
,
Lieutenant Wiltor AileTranchante [V3.0] Tumblr_mh5o57wcMz1qbji6ao1_500
JE SUIS : le règne nouveau.
RANG : couronne de Dieppgard.
METIER : dirigeante du peuple mort-vivant.
MISSIVE ENVOYÉES : 48


Lieutenant Wiltor AileTranchante [V3.0] Vide
MessageSujet: Re: Lieutenant Wiltor AileTranchante [V3.0]   Lieutenant Wiltor AileTranchante [V3.0] Icon_minitimeVen 27 Jan - 18:21

Que veux-tu que je dise de plus ? Remarquable, clair et efficace. Comme toujours.


Validé. Bien entendu. On se retrouve sous terre. ♥
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Lieutenant Wiltor AileTranchante [V3.0]

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