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 Dame Freyja Howlin, mère des Damnés [en cours]

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AuteurMessage


Dr. Freyja Howlin
Admin et Fondatrice Ethérée

La Mère des Damnés
l'ombre de la cité maudite.
,
Dame Freyja Howlin, mère des Damnés [en cours] Tumblr_mh5o57wcMz1qbji6ao1_500
JE SUIS : le règne nouveau.
RANG : couronne de Dieppgard.
METIER : dirigeante du peuple mort-vivant.
MISSIVE ENVOYÉES : 48


Dame Freyja Howlin, mère des Damnés [en cours] Vide
MessageSujet: Dame Freyja Howlin, mère des Damnés [en cours]   Dame Freyja Howlin, mère des Damnés [en cours] Icon_minitimeVen 14 Mai - 8:36

Image : Altana.deviantart.com

Dr. Freyja Howlin




Dame Freyja Howlin, mère des Damnés [en cours] Fiche10

• Nom & Prénom :
Howlin Freyja
• Age :
Morte à 26 ans, elle conserve son apparence de cette époque. Entre soixante-dix et quatre-vingts ans se sont écoulés depuis sa résurrection.
• Race :
Morte-vivante
• Camp :
Dieppgard
• Grade :
On l'appelle souvent « docteur », « dame », mais elle n'en reste pas moins la créatrice et gouvernante de son peuple, le peuple des Damnés.
• Titre :
La "Corruptrice", la "Porteuse de mort", la "Mère des Damnés".
• Réputation :
On ne la présente plus, on n'évoque plus son nom qu'avec des frissons dans le dos. Pour son peuple, elle est comme une mère, une mère à laquelle il ne faut, en aucun cas, porter atteinte ! Les autres peuples l'ont bien compris, bien qu'ils se fourvoient largement sur le compte de la reine des Damnés. A force de la parer de tous les crimes, tous les vices, on lui a forgé une image de manipulatrice froide et cruelle qui n'est pas la sienne. Pourtant, il faut faire avec les Damnés, c'est un fait, et les humains l'ont parfaitement compris. Si l'on n'ose pas cracher sur le nom d'Howlin, on ne peut s'empêcher de redouter le moindre de ses gestes, de ses paroles. On dit qu'elle est folle. On a peur. On a horriblement peur de son pouvoir de persuasion sur cette armée de non-vivants fanatiques... et sur tout le reste. Vivant comme non-vivant.

Physique

Que dire de dame Howlin, sinon qu'elle fait partie de ces gens qu'on ne décrit pas, de ces gens qui vous laissent une impression au-delà de leur couleur de cheveux ou de la forme de leur visage. Mais si elle s'avance face à vous, alors vous tomberez nez-à-nez avec ses deux yeux à la lueur glacée, des yeux d'un bleu plus froid que les terres de Frözen, des yeux qui ont fait la sinistre réputation du peuple des damnés. Difficile de distinguer une pupille à travers son iris de brume, si elle existe, ce qui n'est sûrement pas le cas. Et pourtant, malgré ces yeux consumés, noyés par cet azote liquide, le visage de la dame arrive à être expressif. Et il est bien plus que cela ! Non, c'est vrai, il n'est pas d'une beauté renversante, de celles sur lesquels une salle entière peut se retourner. Il n'est pas non plus joli, encore moins mignon. Il a cette froideur et cette franchise des traits qui rejètent toute rondeur de l'enfance, toute joliesse pure et tendre d'un début de jeunesse. Des traits sont droits, découpés sans fantaisie, une fantaisie bien complétée par tout le reste. En sommes toutes, une beauté froide et professionnelle, intouchable, impalpable, étrange, dénuée pourtant du charme féminin qui devrait la caractériser. Car ce n'est pas du charme, c'est au-delà, c'est une forme plus élaborée, plus subtile. C'est un pouvoir, le pouvoir d'imposer sa présence, de la faire peser, influer. Je crois qu'on appelle cela le charisme. On aime ou on déteste les manières de la mère des Damnés, mais on n'y reste pas insensible.

Si elle enlève sa capuche ou qu'elle ne la porte simplement pas, vous lui verrez de longs cheveux sombres, parfois relevés par laisser apparaître timidement une nuque au port fier. Mais ce port de tête n'est qu'une savante illusion, on devine à sa démarche sans manière que dame Howlin n'a de reine que le nom et les idées. Bien sûr, la doctoresse sait se tenir, mais pourquoi s'embêter de convenances lorsque votre deuxième vie leur enlève tous leurs intérêts ? L'apparence compte si peu, finalement... Elle ne sert qu'à vous coller des étiquettes. Et la panoplie de mort-vivant ne serait pas complète sans une peau translucide, nacrée. On raconte qu'autrefois la peau de Freyja avait une teinte légèrement mate, une étrangeté à Archeus. Comme si son teint foncé avait été délavé, elle est maintenant d'une pâleur cadavérique, maladive, mais pourtant pas claire, blanche, diaphane, comme c'est souvent le cas. Non, bien caractéristique, son métissage transparait même au-delà de la mort, l'investissant d'un ensemble, avec ses cheveux d'ébène, peu commun.

Elle s'éloigne, vous tourne le dos ; vous aurez sûrement la possibilité de juger de sa silhouette. Car jusque là, seules dépassaient de sa robe ses mains à l'allure fragile, aux doigts longs. Les os saillants semblent vouloir en déchirer la peau, où se dessinent les canaux enchevêtrés des veines dans lesquelles du sang coulait autrefois. Parfois sertis de bagues, ses doigts sembleraient même délicats s'ils n'était pas terminés par des longs ongles sombres, des ongles comme des griffes, comme des serres. De même, si elle vous accorde un sourire qui puisse dévoiler ses dents, vous les trouverez, à l'instar des autres morts-vivants, acérées comme celles des fauves. Sa robe est longue et raide, si bien qu'on ne peut qu'imaginer ce qu'elle cache. C'est un fait ; Freyja ne se découvre pas. Elle pourrait jouer de ses charmes, elle ne le fait pas. Car sa silhouette est, sans être grande, longiligne, d'apparence gracile. Peut-être pas que d'apparence ; il faut dire que la dirigeante d'Undercity n'est pas guerrière pour deux sous. Parfois, un masque vient orner le haut de son visage, lui donnant un air assez particulier ; cette habitude a fini par perdre en étrangeté au cours du temps. Des cicatrices, des scarifications, oui, elle en porte. Mais vous ne les verrez pas, peut-être juste sur les bras ou les épaules, sauf si elle décide de se découvrir, mais ne comptez pas là-dessus...



Caractère

Le caractère de Freyja est loin, très loin de l'image qu'elle peut donner d'elle. On lui attribue une froideur impénétrable et une cruauté sans limite. Grossière erreur. La première chose qu'il faut savoir est qu'elle possède deux visages ; une couverture destinée aux vivants, et une vérité pour ses êtres chers. Ses êtres chers... Loin de porter hautainement son statut de reine, dame Howlin reste au plus près de son peuple, attentive à ses sentiments, ses craintes, ses supplications. C'est à travers lui qu'elle vit, pour lui. Elle n'est pas cruelle, ni insensible. Mais si la guerre et les abominations sont nécessaires pour que son peuple puisse vivre calmement et dignement, alors il y aura des guerres et des abominations. Elfes, vikings, humains, peu importe, au final. La non-vie est ce qu'elle est, alors inutile de la rejeter en pensant qu'elle se fera plus indulgente afin de revenir vers vous. Et cela, Freyja Howlin l'a compris, appris, répété, gravé dans sa chair et dans son esprit en de douloureuses cicatrices. Dieu sait, si elle en a fait, du chemin, depuis la bêtise de cet imbécile de Magrew ! Un calvaire qu'elle ne souhaite à personne, personne, sauf peut-être le responsable de toute cette histoire. Et c'est parce qu'elle sait bien que le chemin est long, horrible et douloureux quand on est seul qu'elle accompagne ses Damnés sans jugement de valeur. Tolérance. Parce qu'il a fallu mourir une fois pour comprendre que l'autre, ce n'est pas un regard, c'est une histoire. On dit ce qu'on veut. Peut-être qu'elle est la seule d'entre nous a avoir réellement compris ce qu'est l'humanité.

Mais ces années d'errance ont aussi taquiné sa raison, l'ont bousculée. On raconte qu'elle est folle. Mais ce n'est pas le mot. Follement imprévisible, ça oui. Elle ne réagit qu'à ses envies, ses caprices, aussi excentriques soient-ils. Il n'est plus si étonnant qu'elle demande de libérer, comme ça, subitement, un de leur prisonnier. Juste parce qu'elle en a envie. De faire preuve d'une compassion inespérée ou, au contraire, d'une impénétrable carapace de glace. Des réactions disparates, qui varient au moindre détail, au moindre mot. Il va sans dire que cette étrange personnalité a de quoi déstabiliser les dirigeants des autres peuples ! Tantôt proche, délicieusement brûlante, tantôt glacée et hors d'atteinte, stoïque, impassible, Freyja trouble, embrouille, divise. Elle aime garder le contrôle mais n'hésite pourtant pas, parfois, a lâcher la bride, juste par pur plaisir, juste pour s'amuser de la tournure des évènements. Son expérience de laboratoire lui a appris à gérer l'imprévu, l'improbable, à en tirer profit.

Quand au trait de caractère le plus notable, le plus connu aussi, il s'agit sans aucun doute possible de son charisme. Sa présence est un calvaire pour les vivants ; on raconte que ses yeux glacés vous fouillent de l'intérieur, plongent dans votre âme et en ressortent les secrets les plus intimes... J'y ai déjà fait allusion en tentant de décrire le visage de notre chère morte-vivante, et la réputation de ce pouvoir de persuasion n'est plus à faire. Une marionnettiste, voilà comment les rumeurs caricaturent la mère des damnés. Et l'image d'Undercity et de ses habitants s'en trouve entachée... Les plus audacieux des opposants à son règne auraient même émis des théories comme quoi l'armée morte-vivante est dépourvue de volonté propre, de désirs personnels... Balivernes. Venez à Undercity, et vous verrez de vos propres yeux. S'ils restent vôtres assez longtemps... En réalité, personne ne connait les réelles intentions de dame Howlin. Reine aimante veillant à l'élévation de son peuple, ou cruelle manipulatrice prête à tout pour arriver à ses fins ? Elle seule tient la réponse. Elle seule prend un malin plaisir à faire durer ces macabres mascarades...



Histoire

(20 lignes minimum.)




Equipement


• Armes :
Freyja ne sait pas ou peu se battre, c'est un fait. Mais elle possède, comme arme de parade, une élégante faux , qui, vous vous en douterez, lui va à merveille.

• Monture :
Et maintenant ?


• Où en êtes-vous ?
Dame Howlin est à la tête de la sombre Dieppgard et de son peuple mort-vivant. Les laboratoires de la ville renferment d'effroyables expériences, et les résultats qui pourraient en ressortir ont de quoi faire froid dans le dos. Tout le monde sur Frözen craint aujourd'hui les futures actions des Damnés... Plus récemment, la fuite d'un de leur sujet d'expérimentation, Alice Weaver, a jeté le trouble dans la cité. Freyja redoute également le possible retour de la berserk morte-vivante à Vyrkä ; l'affaire "Guerikk Askadi" venait à peine de se tasser... Mais c'est aussi l'occasion de se poser les questions qui effraient, celles qu'on n'ose pas ressortir du fond de son esprit. Mais maintenant, il est trop tard pour reculer. Quoi qu'il soit, il lui faudra pousser ses projets jusqu'au bout et ne pas décevoir ce peuple qui croit tant en elle...

• Relations :


• Autre(s) :
Son corps fut en quelques sortes le prototype des Damnés. Il souffre de temps à autres de faiblesses que les scientifiques de Dieppgard s'efforcent de soigner.
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Dame Freyja Howlin, mère des Damnés [en cours]

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