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 Ellane Wels [Terminée]

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AuteurMessage
Ellane Wels

Ellane Wels
La contorsionniste

RANG : Archeus
MISSIVE ENVOYÉES : 8


Ellane Wels [Terminée] Vide
MessageSujet: Ellane Wels [Terminée]   Ellane Wels [Terminée] Icon_minitimeVen 23 Avr - 19:29

(Image de votre personnage souhaitée mais facultative.)


  • Nom : Wels
  • Prénom: Ellane
  • Age: Vingt et un ans
  • Race : Humaine
  • Grade : À méditer.
  • Surnom : Un surnom est une appellation que l'on donne à un personnage pour le désigner, de manière familière la plupart du temps. Il n'empêche que pour les gens qui la regardent réellement, elle est soit « La contorsionniste » soit « Lily ». Dans un premier cas, ce n'est que pour le spectacle, dans le second, qu'un petit surnom affectueux offert à la jeune femme par ses proches.
  • Réputation : Célèbre... On peut dire ça. Mais ce n'est pas vraiment son nom à elle qui est connu. On la sait présente dans la troupe de «L'Imaginarium » mais ce n'est pas spécialement ses surnoms que l'on murmure lorsque l'on voit le spectacle. Le cracheur de feu est bien meilleur qu'elle sur certains points, et bien plus impressionnant. Et le peti[/it public ne retient jamais vraiment ce qui n'est pas à sensation...
  • Physique :Des traits fins sur un visage assez rond, la jeune fille fait partie de ces filles jolies mais normales qui l'ont peut croiser dans la rue sans ressentir le besoin de se retourner. De longues boucles rousses foncées encadrent son joli minois, faisant ressentir ses yeux d'un beau gris-bleu. Ayant naturellement de longs cils elle les enduit d'un mélange spécial lors de ses représentations pour leur faire gagner de la longueur. De splendides couleurs animent aussi de temps en temps les contours de ses yeux, gagnant sur les paupières jusqu'aux sourcils, pour donner un aspect féerique à son visage lorsqu'elle joue avec son propre corps. Poudres, quelques fois des pierres collées à la peau par des mélanges spéciaux, tout est bon pour faire briller la peau pâle de la jolie demoiselle.
    Une peau dénuée de marques, coups, blessures, peut-être de temps en temps quelques bleus mais qui n'en a pas ? Un épiderme qui cache des muscles puissants, tendus des fois jusqu'à l'extrême. Elle est agile, souple, douée d'un équilibre non dissimulé et il est rare de la voir chuter sans que l'on ne l'ait aidée à le faire. Mettre un pied derrière sa tête, qu'importe le sens, est une chose bénin, et il est inutile de préciser qu'elle sait effectuer quelques pirouettes sans le moindre problème. Elle a l'habitude. De toute façon sa morphologie est parfaitement adaptée à ce genre d'exercices. Tout d'abord, elle est presque plate, longiligne, ne possédant que très peu de ces formes qu'arborent toutes les femmes très bien nourries. Elle ne fait que cinquante kilos pour un mètre soixante-huit. Ses mains loin de posséder la douceur de celles des « nobles » présentent quelques cals à cause de ses entraînements. Des doigts puissants, parfaitement adaptés pour faire une acrobatie sur une chaise renversée, par exemple.

    Pour ses tenues, elle choisit dans la vie de tous les jours pour la plupart du temps, que des robes composées d'un corset en haut, et d'une jupe longue en bas. Pourtant, lorsqu'elle effectue quelques acrobaties pour les spectateurs, elle préfère des pantalons collants aux jupes, souples, un peu extensibles. Ils lui laissent sa liberté de mouvements, et sont, par dessus ça, plutôt valorisants.

  • Caractère : Si l'on avait du donner un visage à une personne particulièrement peu intéressée par la guerre ça aurait été le sien. On n'aurait pas pu faire plus hermétique à toute entrée dans l'armée que cette jeune fille, particulièrement agaçante pour certains. Non qu'elle ait une raison valable pour le faire, après tout, elle est en bonne forme physique, pas trop idiote voire même assez intelligente et douée d'un courage moyen qui peut accessoirement être utile dans les conflits. Mais la rouquine en a rien à faire, et tant qu'elle amusera le chef d'Archeus nul doute qu'on la laissera tranquille en temps de guerre. C'est ainsi, et même si ça fait grincer des dents certains recruteurs, passablement énervés par ce qu'ils considèrent comme de l'effronterie, la rouquine ne changera pour rien au monde d'avis. (Vous comprendrez les raisons pour vouloir la faire entrer dans l'armée alors qu'elle est une civile plus tard).
    Sinon, la jeune fille est assez indépendante, souvent en conflit avec son géniteur qu'elle ne considère déjà plus comme étant son père, il en ressort une personnalité assez forte, sûre d'elle, Ellane ne se laisse pas volontiers se faire marcher sur les pieds et il est rare qu'elle s'écrase. Elle se laisse sinon assez souvent emporter, ainsi une pauvre blague de gamin peut rapidement se transformer en une course poursuite dans les rues pour leur en coller deux, lorsqu'elle n'est pas de bonne humeur. Certains la décrivent comme étant une « illuminée qui fait de son corps un truc mou qui se tord dans tous les sens », pourtant, la rouquine est assez saine d'esprit par rapport aux autres membres de la troupe. Elle peut aussi se révéler comme étant une amie sympa et agréable lorsqu'elle se trouve un point en commun avec la personne en question. Néanmoins ses colères sont assez cinglantes et claquantes, et elle use assez régulièrement de réparties blessantes qui la mettent en sécurité lorsqu'elle a affaire à quelqu'un de passablement doué dans le maniement de la langue.
    Nullement contrariée par les autres "races" de l'île, on pourrait dire qu'elle s'en fiche tant qu'ils aiment l'art du cirque et qu'ils n'ont pas le trac.

  • Histoire : Un cri strident résonna entre les murs d'une charmante maison recouverte de neige, un hurlement aigu, enfantin. Celui d'une enfant qui venait de prendre sa respiration, la première d'une longue série, et qui goûtait aux saveurs de la vie. C'était un petit bébé fort bien proportionné, avec quelques cheveux roux, déjà, sur le caillou, qui présentait deux pupilles d'un très beau bleu. Ce petit ange aurait du séduire le père comme il avait séduit la mère, cette dernière contemplait son enfant avec le bonheur et la joie aveugle d'une femme qui contemple un trésor, mais il en alla tout autrement. Lorsque le géniteur entra dans la pièce pour voir son premier né, il ordonna à sa femme de le lui montrer, s'attendant déjà à recevoir entre ses mains énormes et rugueuses un si petit enfant. Il voulait un héritier mâle qui l'accompagnerait sur les champs de bataille, un fils qui mourrait bravement au combat. Pauvre petit papa sexiste... Ce ne fut qu'une fille qu'il reçut de sa femme qui souleva le nourrisson entre ses bras pour le lui montrer.

    « Elle s'appelle Ellane et... »

    Son époux s'était retourné, avait tourné le dos à son épouse pour ressortir, fulminant, de la pièce. Il détestait déjà cet enfant qui, il en était sûr, ne ferait pas un bon petit soldat pour sa patrie. C'était couru d'avance, le peu d'amis qu'il avait vu avec leurs filles, les avaient perdues quelques années plus tard. Ces donzelles s'éprenaient souvent d'un jeune homme qui allait se faire tuer au combat, les laissant seules avec quelques bambins, des fois, si bien qu'elles devaient revenir chez leurs parents. Plus rares étaient celles qui entraient dans l'armée, et le grand homme chauve, entraîneur de plusieurs factions de jeunes, pressentaient que son enfant ne ferait pas partie des rares élues.

    Ce fut le point de rupture de la jeune femme avec son père, alors qu'elle n'avait que quelques heures. Ensuite, il ne daigna plus lui adresser la parole, s'entêtant juste de temps en temps à faire venir des professeurs des quatre coins de la villes pour lui enseigner les rudiments de la guerre, au cas où elle aurait voulu changer d'avis et entrer dans les rangs de l'armée. Elle n'avait pas dix ans que l'on lui apprenait à monter à cheval, tenir une épée, et s'essayer à cette souplesse innée qui était la sienne. C'était stupide, elle tentait toujours de fuir les cours qu'on lui imposait. Elle préférait mille fois courir dans les champs et s'amuser à cueillir des fleurs (chose très rare, la neige n'est pas le meilleurs des fertilisants) plutôt que de continuer à suivre les ordres d'un homme particulièrement autoritaire qui n'était plus capable de donner d'enfants à sa femme et qui se vengeait sur Ellane en lui faisant vivre toujours plus de souffrances. La pire étant sans doute d'être privée de liberté, d'en voir d'autres s'amuser alors qu'elle même, elle suait sang et eau pour tâcher de soulever des pierres dans le but de se muscler. Ce qui ne servit à rien et ne marqua nullement la jeune fille de manière physique.

    Même pas la douzaine et on lui demandait déjà ce qu'elle n'était plus capable de donner... En naquit une haine viscérale pour tout ce qui comprenait le mot « lois » ou « règles de conduite ». Inutile de préciser que ce fut ce qui la mena à fuir sa maisonnée alors que certains de ses congénères étaient supportables. Sa première rencontre fut la meilleure. Elle avait seize ans. Ce ne fut pas par hasard qu'elle les trouva sur la route, elle n'allait pas chercher des oeufs mais la liberté, elle n'allait pas en toute légalité mais avait fait une fugue. Passer par la fenêtre avait été un jeu d'enfant, ne pas se faire avoir par les soldats dans les rues s'était révélé plus compliqué mais elle avait réussit. Et puis, elle les avait trouvés, au détour d'un chemin, sur une place, ils répétaient, jouant de la musique avec de drôles d'appareils, ils semblaient être l'incarnation même de la liberté. Elle s'était rapprochée. Ils s'étaient arrêtés de jouer, de bouger, tous sans exception. Et elle avait eu la réaction la plus stupide que l'on puisse trouver... Elle s'était enfuie en courant, folle de joie mais également morte de peur à l'idée qu'on ait découvert son escapade.

    Et puis, elle était revenue, une fois, deux fois, trois fois... En cachette. Finalement, un jour elle avait osé leur parler. Ça n'avait pas été facile sur le coup, et elle avait hésité, longtemps. Leur musique était toujours aussi belle, envoûtante. Fièrement, elle avait gagné le centre de la place. Elle avait à peine dix-sept ans, on ne pouvait pas lui demander la lune alors qu'elle ignorait quasiment tout du monde extérieur. Elle était plus naïve, et c'était tel quel qu'elle s'était exprimée, en gamine charmante, mais trop bien élevée.


    « Je peux venir avec vous... S'il vous plaît ? »

    La dessus l'un des vieux avait craché par terre, elle l'avait observé, fascinée. Son timbre était rauque, sec. Ses cheveux blancs accrochés en une queue de cheval serrée l'avait intriguée.

    « Et qu'est ce que tu sais faire ptiote ?! »

    « Ce que je sais faire ?! Hein... Heu... Pas grand chose... »

    Il l'avait fixé un moment dans le blanc des yeux avant de les baisser vers le sol, et de reprendre une musique lente. La jeune fille avait mis un temps avant de comprendre que ça voulait dire que l'entretient était terminé. Elle avait voulu ouvrir la bouche, s'était retenue, avait fait trois pas en arrière et était partie.

    À ce stade là on aurait pu croire qu'elle avait renoncé. Pourtant, il en alla autrement. Chez elle, elle chercha, essayant divers tours jusqu'à en trouver un à sa hauteur. Sa souplesse... le soir même elle revenait à la place. Un grand sourire étalé sur ses lèvres fines, enveloppée dans une grande cape. La voyant, le vieux avait eu un rire sec.


    « J'tai pas déjà dis que ça servait à rien de venir sans savoir faire quelque chose de tes dix doigts! »

    Elle l'ignora, laissa tomber sa cape qui dévoila un pantalon collant emprunté à un cousin qui l'avait laissé chez elle, et prit sa jambe pour la maintenir derrière sa tête jusqu'à ce que son pied touche son crâne. Dans la soirée elle enchaîna tout ce qu'elle connaissait. Le lendemain, elle avait une place dans la maison roulante qui leur tenait lieux d'habitat. Ainsi ils allèrent de maisons en maisons où elle se produisit beaucoup de fois.

    La rouquine revit son père à cinq reprises, à chaque fois il tenta de la faire revenir par tous les moyens mais elle l'ignora. Ce fut sa vengeance. Elle n'était pas attachée à sa famille, et puis, sa nouvelle vie lui convenait parfaitement. Elle devint « La contorsionniste »...

  • Monture : Une monture... Pour quoi faire ? Ce n'est pas comme si elle allait à l'autre bout de l'île pour les représentations, de toute façon, les habitants de cette maudite terre désertique ont tendance à se détester. Et puis, à quoi bon aller se les geler ailleurs alors qu'elle gagne de quoi vivre ici ? Non, pour la monture on oublie, ses deux pieds lui suffisent amplement si elle décide d'aller quelque part.
  • Familier ou compagnon : Son familier n'est ni très intéressant, ni très courageux, intelligent pour sa race, peut-être. Il s'agit d'un petit chat, noir comme l'ébène, qui participe à ses spectacles. Doué de la souplesse donnée au chat par le dieu tout puissant, il fait partie intégrante du décor et il n'est pas rare de la voir se pavaner au fond de la scène, grimpant des tabourets et sautant dans des cerceaux pour le compte du public. La rouquine l'aime bien, comme animal de compagnie, mais sans plus, il n'est pas le premier, ne sera sans doute pas le dernier, mais reste bien pratique et sympathique tout de même. Elle l'aime, mais pas comme certains enfants qui adulent les animaux. Il n'empêche qu'elle le nourrit bien, et que le félin arrive très bien à se trouver de la nourriture lorsqu'il prend la peine de chercher.
  • Armes et style de combat : Elle n'a qu'une seule arme, et c'est un petit couteau qu'elle cache contre sa poitrine pour se défendre en cas d'attaque. Une femme, même dans une cité, n'est jamais à l'abri des fantasmes des hommes, et ils n'hésitent pas non plus à tuer pour quelques bijoux. Aussi la rouquine a apprit à jouer du couteau, même si ça n'est pas difficile, et elle sait pratiquer le lancer de poignard (grâce à un membre de la troupe), seul point qui l'empêche de le faire, on refuse de lui prêter d'autres armes de jets. Manque de confiance, stupidité de la part de ses pairs ? Elle n'en sait trop rien. Et puis, pour le moment un bon coup dans la partie la plus sensible de l'anatomie masculine, et généralement, on laisse tranquille.
  • Autre ? Elle aimerait jouer à la table d'un autre chef que celui de sa cité, pour voir si il serait tout aussi sensible à son art...


    ~~~~~~~~~~~
  • Et maintenant, où en est votre personnage ? Aujourd'hui, la jeune femme voudrait changer d'air, aller dans d'autres parties de l'île. Elle accepte donc toutes les invitations pour se produire... Tant qu'on ne la descend pas à son arrivée.
  • Avez-vous lu les règles ? Validé par la gwande chef.
  • Comment avez-vous connu le forum ? J'ai été attaquée recrutée sur MSN par Ally. Very Happy
  • Un petit truc à dire ? C'est un très beau forum, félicitation.
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Dr. Freyja Howlin
Admin et Fondatrice Ethérée

La Mère des Damnés
l'ombre de la cité maudite.
,
Ellane Wels [Terminée] Tumblr_mh5o57wcMz1qbji6ao1_500
JE SUIS : le règne nouveau.
RANG : couronne de Dieppgard.
METIER : dirigeante du peuple mort-vivant.
MISSIVE ENVOYÉES : 48


Ellane Wels [Terminée] Vide
MessageSujet: Re: Ellane Wels [Terminée]   Ellane Wels [Terminée] Icon_minitimeDim 25 Avr - 9:28


Bienvenue =)
Je te l'ai déjà dit sur la Chat box, il faudrait qu'on reparle ensemble de cette fameuse troupe, histoire de l'approfondir.
Sinon, l'histoire me convient, je pense que ta fiche peut être validée. Bon RP à toi =D
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Ellane Wels [Terminée]

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